Bravo a Ridley Scott pour avoir réalisé 23 ans après un Gladiateur II. Néanmoins, le scénario est presque un copié-collé avec le 1 et il n'y a pas grand chose à en dire. Denzel Washington est excellent dans son rôle et ma fois Paul Mescal reprend très bien la suite. Un bon divertissement. (F-19.11.24)… Voir plus

Gladiator II est un excellent film, avec une mise en scène impressionnante et des performances d’acteurs remarquables. Cependant, il comporte de nombreuses scènes violentes, ce qui peut être dommage pour certains spectateurs, car cela alourdit un peu l’expérience globale.

Film juste incroyable!!

Mr scott a surpassé son chef d’oeuvre d’origine .
Aucun doute là dessus ,1000x bravos à toutes et tous pour ce niuveau MONUMENT DU CINÉMA.
Comme quoi on peut réaliser d’énormes choses à l’inverse des DC & MARVELS(qui soit disant au passage n’ont de Marvel que LE NOM)
le reste est un vide sidéral,Sidérent de nullité profonde .… Voir plus

Rage,amour,destruction,folie,fureur,espoir,avenir ,talents à profusion.
Mr Scott a réalisé l'impensable pour énormément de gens ,cet à dire aurpasser et de loin son aîné.
Absolument démentiel,prodigieux.
Tout le casting est exceptionnel,habité comme jamais par son rôle .
Une énorme claque .
Et dire que énormément de critiques vont s’élever pour le descendre.
Je pense qu’ils souffrent de ce que j’appelle le syndrôme Joker 2 que perso j’ai plus que ADORÉ er j’ose le mot SUPÉRIEUR au 1er film.
J’espère que 1 jour les critiques verront non seulement leurs erreurs de jugement mais plus encore qu’ils se rendront compte que ces 2 oeuvres magistrales se complètent à merveille.

Mr Scott,l3 casting ,les producteurs,les scénaristes,costumiers,etc juste ces mots:
Du grand cinéma comme j’aimerai en voir bien plus souvent .
Hollywood ,s’il vous plaît prenez en de la graine .
Et s’il vous plaît arrêtez une x pour toute ces films de super Zéros,merci .
Et vive le tout grand cinéma… Voir plus

Arrête où mon fils va tirer
26 ans que Marc Aurele est mort. Rome vit sous la terreur des empereurs jumeaux Geta et Caracalla, mais Lucilla et son mari Acacius, commandant en chef de l’armée en Afrique, restent malgré eux fidèles au concept du Senat. Or Macrinus un puissant marchand d’esclaves forme des gladiateurs et il trouve en Lucius, établi en Numidie et dont l’épouse a été tuée, l’opportunité de se faire un nom auprès de l’Empire en le poussant à se venger d’Acacius et détruire ainsi la lignée sénatoriale voulue par Marc Aurele. Encore faut-il vaincre le passé et les liens du sang.
La voici donc cette suite surprise du chef Scott ou comment craindre une résurrection pour finalement vivre une vengeance en soi et une chute d’Empire. Un menu qui laisse quelque peu sur sa faim sans être indigeste.
Il fallait un certain cran pour écrire un après Maximus et transformer Lucius. Pourtant la première demi-heure peut légitimement nous perdre car nous voyons ces nouveaux personnages sans rien savoir sur eux et de longues interrogations nous traversent l’esprit tandis que les flèches et glaives traversent les corps en Numidie. Il faut attendre l’arrivée à Rome pour à nouveau se familiariser avec les arènes et retrouver des visages connus et d’autres qui ne méritent pas de s’y attarder, notamment ce détestable duo d’empereur dont on ne souhaite que leur chute.
Et c’est le point fort de ce second acte : la critique sur un certain pouvoir autocrate où dans ce cas le Sénat et le peuple ne valent rien. Elle surpasse l’écriture vengeresse assez faible et la surdose d’effets rendant certaines séquences assez loufoques comme par exemple l’assaut initial ou la transformation maritime du Colisée.
Et finalement ce pouvoir appelé à vaciller va nous offrir une probable réjouissance finale malgré une perte symbolique et en quelque sorte réconcilier un fils déchu malgré lui et sa mère. Et attention à la colère de l’enfant inspiré de son père.
Il manque le talent de Russell Crowe mais Washington le remplace à merveille et palme personnelle malgré l’antipathie envers son personnage à Josef Quinn qui n’aurait pas fait long feu du temps des Romains. On notera également la musicalité hommage de Gregson Williams qui laisse une trace Zimmerienne mais retrouve son rythme de Croisade.
Se laisse donc voir… Voir plus